La transition
Alors, cette nuit, avec Icare, c’est comme si nous avions quitté le soleil de la Renardière pour nous réfugier auprès de la lune allonnaise, de notre nouvelle école PASTEUR.
Je n’m’enfuis pas, je vole
Sans regret (?), sans remord (?)
J’rigole, j’rigole…
(Sur l’air de « Je vole » de Michel Sardou)
Ceci faisant allusion à la chanson de départ, de "mon" départ, interprétée avec brio par mes collègues et orchestrée de main de maître par Valérie, notre « master-chef » de chorale et plus encore (chanson, dont voici un extrait)...
Notre chère Christelle, tu pars,
Tu nous aimes, mais tu pars,
Ce n’sera plus comme avant,
Au r’voir
Tu n’t’enfuis pas d’l’école,
On comprend ton envol
Sans regret, sans bémol,
Rigole, rigole…
Un envol ! Oui, c’est bien de cela qu’il s’agit !
Mais revenons à Icare !
Ne pas trop se rapprocher de la lune (car c’était bien une nuit de pleine lune, n’est-ce pas Christophe ?) sans quoi le beau toutou tout doux risquait fort de se brûler… les oreilles ! Déjà que sa vue était quelque peu altérée (voir la photo), je ne tenais pas en plus à affecter ses autres sens. Il aura bien besoin de son ouïe dans sa nouvelle école pour entendre murmurer les chères têtes blondes « PASTEURisées » et pouvoir ensuite raconter les petits ragots « PASToraux ».
Mais je crois que cet envol vers la lune fut juste le début d’une longue épopée.
A suivre…